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Pour plusieurs acteurs politiques et economiques, le travail en Afrique à travers nos propres ressources et nos propres richesses reste le seul moyen permettant de nous developper d’une main ferme et de concurrencer les grands producteurs et les marchés mondiaux.
Le present séminaire se veut inovateur et promoteur tant dans la formation que dans le suivi des projets dans le domaine de l’agriculture et de ses dérivées au Cameroun. après avoir acquis des connaissances adéquates et indispensables pour contribuer au developement du Cameroun, les participants feront une analyse point après point de leur projet qui sera suivi par les experts dans leur réalisation
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Le séminaire planifié et organisé par l’association Bantu Development Initiative e.V. en Allemagne et le Projet AFOP (Appui à la formation professionnelle www.c2dafop.org) au Cameroun vise a former dans les différents domaines de l’agriculture et de l’élevage: les exploitants, les investisseurs , les Managers des exploitations (surtout ceux de la diaspora apelés à diriger des projets a distance) mais aussi les managers de sociétes de transformation.
Cette formation se fera en deux phases. La première phase aura lieu en Allemagne du Mercredi 28 Septembre au Dimanche 02 Octobre 2016 à ERLANGEN, en Allemagne.
» L’Afrique est à deux doigts de son miracle économique et la condition pour y parvenir est simple: il faut rompre avec le moindre effort. Le travail est la première force motrice de tout miracle économique … Une fois que les africains auront recouvrer leur confiance en soi; une fois qu’ils auront compris que le travail et le savoir sont les sources principales de tout enrichissement individuel et collectif, ils auront rempli les conditions préalables du développement. »
Dr Paul K. FOKAM, CEO, Fondateur Afriland First Bank.
Ces citations font froid au coeur, lorsque nous savons les enjeux, les défis et les challenges que les jeunes africains ont et auront à relever. Le jeune Africain et camerounais se doit de prouver au monde sa capacité à réagir face aux défis de l’hummanité, face a la famine, face au marché, face a la demande. Le jeune africain se doit d’entreprendre, d’apprendre dans divers secteurs importants et innovateurs en Afrique. C’est par l’entrepreunariat, l’innovation, le travail et le travail bien fait que notre continent se relèvera.
Dans le domaine de ll’entrepreunariat, nous nous sommes focalisé pour l’année 2016, dans le domaine de l’agriculture. L’agriculture est un secteur riche, prometteur et fondamental. Grâce a l’agriculture la population locale et régionale sera nourrie. Grâce a elle et au travail bien fait, ce sera la fin de la faim. L’Agriculture cree des richesses et propose un avenir meilleur.
Cependant doit elle rester dérisoire et rudimentaire ? Que non ! Nous avons besoin d’attirer les investissements prometteurs dans ce domaine afin non seulement de produire, mais de transformer, de stoquer afin que la commercialisation soit effective.
“We need Africa’s best and brightest to embrace agriculture as a calling and a career…. We need improved crop varieties developed to resist diseases and tolerate drought. We need access to modern inputs, such as fertilisers.”
Olusegun Obasanjo, Africa Food Prize committee
Quels sont les enjeux ? quelles sont les normes? quelles sont les possibilités de marché et quel est le contexte socio – culturel non négligeable ? En tant que membre de la diaspora, il est question de faire une gestion lointaine de cette agriculture. Oui c’est possible a travers et avec un réseau d’experts dans le domaine, avec nos partenaires invités.
Au Cameroun, le séminaire se veut pratique en visitant surtout les jeunes établis dans le domaine. La diaspora peut servir de relai a cette production qui parfois est minime faute de moyens financiers, mais ausi de relai pour la transformation des produits.
Participer au séminaire agricole, c’est redéfinir l’agriculture, c’est penser nouveau, c’est penser différement., c’est poser les bases du developpement afin d’etre une diaspora forte, dynamique et productrice et pas le cameroun qui s’appuie sur les aides internationales, mais le cameroun qui travaille de sa sueur, de ses mains, et qui trace le destin et son avenir.